Yeska
03 Dec
03Dec

C’était hier soir, autours de quelque vers, accompagnée d'amis, un grand artiste sculpteur, un photographe incroyable et une peintre et artiste manuelle merveilleuse, qu'à eu lieux cette grande conversation qui commença par des félicitations pour le live de présentation de YESKERO, de la part du premier. 

Il me recalca que ce qu'il avait le plus apprécié c'est que cette fois, j'ai eu l'initiative d'inclure au concert une projection de mes paroles originales et traduites à l’espagnole. Pour la première fois, donc, depuis qu'il m'écoute chanter, il a pu comprendre ce que je disais. Et selon lui, mes paroles valent vraiment la peine d'être comprise. Il a complimenté ma façon d'écrire d'un point de vu critique comme on ne l'avait pas fait depuis le l'école, le collège et ensuite le lycée, où trois professeurs de français, sans se connaître, m'ont dit la même chose et donné le même espoir quand à l'écriture et moi. 

Je me suis rendue compte à quel point ça me manquait d'être comprise et lu. Étant française mais vivant en Espagne, je ne brille pas par mes mots ici, et je les oublis souvent, car je ne parle pas souvent ma langue natale. En repensant à cette conversation, j'ai pu définir une part de frustration artistique que j’hébergeais sans savoir d'où elle venait. Ça m'a vraiment fait du bien. 

Il m'a aussi suggéré le fait d'écrire pour d'autres artistes. Je suis assez mitigé par rapport à ça. 

Qu'en pensez-vous ? 

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